Ecrit vain

Bonjour
Comme ce forum est, me semble-t-il, dépourvu de texte en commun, je vais ici proposer un début. Voici donc quelques règles pour permettre le bon déroulement de la rédaction ( quelle magnifique phrase )
- N'écrivez pas trop quand même...
- Mettez vos commentaires ou remarques entre [ ]
- Tout propos obsène, injurieux, rasciste ou incohèrent risque d'être effacer. Voici le début donc.
"Dans les rues froides et désertes, une longue silhouette se déplaçait lentement. Seul le bruit de ses pas résonnant sur le trottoir troublait la paix nocturne.
S'arrêtant soudain devant une porte, la silhouette frappa quelques coups.
...

"...au bout de quelques secondes, la serrure cliqueta et la lourde porte de chêne s'ouvrit silencieusement.
- Entre, dit une voix étouffée.
L'homme pénètra dans l'obscure batisse en refermant la porte derière lui.
Il se trouvait à présent dans un hall faiblement éclairé, emplit d'ombres. Le second homme lui désigna une porte sur la droite et dit :
- Il t'attend.".....

-J'imagine qu'il s'est armé...
-Comme à son habitude, répondit l'autre avec un petit rictus.

L'homme alors entra dans un petit salon, éclairé par une bougie dont la flamme vacillante faisait danser les ombres sur les murs. Au fond, quelqu'un était assis, un homme de taille moyenne, assez bien habillé. A le voir comme ça, on aurait pas cru qu'il s'agissait du plus habile meurtrier de la ville.

L'homme mystérieux se leva subitement, et ne prononça que ces mots avant de déposer sur la table devant lui un révolver à l'apparence redoutable:
- Tu sais ce que tu as à faire. Elle s'appelle Ema Verse, voici l'adresse...
Il lui présenta un billet sur lequel étaient griffonés quelques mots à la hâte.
- Apprends ça par coeur, ensuite avale-le.
Le premier homme lut alors le billet, marmonna quelques sons imcompréhensibles, puis ingurgita le bout de papier.
- A vos ordres, dit-il à celui qui se tenait derrière la table.
Il ramassa le pistolet et sortit rapidement de la pièce...

Il voulu alors sortir du bâtiment mais l'homme qui gardait l'entrée lui barra le chemin:
-Tu as bien appris ta leçon?
-"9 Nightbourg's Street, 3eme étages, porte 14, Ema Verse, grande, brune, yeux verts. Elle doit être morte avant demain 17h00".
-Bravo. Maintenant, j'espère que tu mettras vite ce que tu as appris en pratique, Richard Matson.
Et il ouvrit la porte.

Une fois de plus, Richard se demanda si il avais bien fait de se mêler à toute cette histoire.

[YAY]

"Enfin bon...", se dit-il, "il y a une somme fort goulayante à la clé, alors..."
Et il monta dans une Chevrolet noire d'un style apparemment ancien. Il se mit à conduire, il en avait pour approximativement une demie heure de route avant d'arriver chez Lady Verse.
"Mieux vaut terminer ce travail rapidement", pensa-t-il.
Il était également muni d'un plan de la villa de sa "cliente". Il y jeta un regard attentif, puis il reporta à nouveau son attention sur la route.
Soudain....

[good luck !]

[t'es content, t'as pus placé "goulayante"? XD]

Quelque chose traversa la route. Richard eut juste le temps d'appuyer sur le frein. La voiture fit un tête à queue, puis alla se fracasser contre un mur. Richard s'évanouit.

A son réveil, un épais brouillard avait envahi la ville. Combien de temps avait-il été inconscient?

['tain de merde, faut que j'arrête Silent Hill....... XD]

[évidemment que chuis content !! ]


L'air était froid, l'ambiance tendue. Que s'était-il au diable passé ??
Soudain, il entendit comme un chuintement derièrre lui. C'est plutôt un grincement strident, en fait.
Il se retourna d'un mouvement rapide et sortit son pistolet. Des gouttes de sueur perlaient sur son front, la panique commençait à l'envahir peu à peu. Le bruit se rapprochait de plus en plus, la tension était insoutenable.
Tout à coup, il vit surgir un tricycle complètement rouillé du coin de la rue. Le chuintement provenait de la roue avant du véhicule.
La terreur pit soudain Richard : le vélo tordu avançait tout seul ! Mais par quel force était-il donc mû ??

[il est content le Kazu, il a placé "mû" XD]

Il s'approcha lentement et distingua une silhouette.
-Emma Verse? demanda-t-il comme si quelque chose l'avait poussé à poser cette question.

[t'as du bol que je sois pas le type dans "la cité de la peur", eXa, paske je serais tellement content que je t'aurais joliment gerbé dessus !! XDDD]

Quelques secondes passèrent, puis, sans dire un mot, la silhouette tourna les talons et s'en alla dans le sens opposé à Richard.
- Attendez !! cria ce dernier, désorienté.
La femme tourna au coin de la rue, aussi Richard se lança à sa suite. Quand il y arriva, il ne vit qu'une immense avenue deserte bordée d' immeubles à moitié effondrés : Emma Verse s'était volatilisée. Emma Verse, oui, Richard en était sûr, c'était bien elle qu'il avait vu.
Et cette brume opaque qui enveloppait la ville n'arrangeait rien, il commençait à paniquer quelque peu, quand soudain....

[]

... quelqu'un le saisit par-derrière et l'emmena à l'intérieur d'un bâtiment. Il fut violemment posé sur une chaise. Richard vit qu'il était entouré de personnes à l'allure morne. Celui qui l'avait prit était un homme assez vieux, portant une barbe blanche et des lunettes rondes.
- Vous êtes fou? fit-il. Que faisiez-vous dehors? Vous vous rendez compte du danger?

Richard ne comprenait pas ce qu'il se passait.
-Restez à l'intérieur ou dans les sous-terrains... C'est déjà plus sûr, conseilla un homme avec de longs cheveux et une cigarette.
-Et encore, nous ne sommes plus sûr de rien ici, compléta le vieux.

Alors le vieil homme vît que Richard était armé:

-Comment l'avez-vous eu? On en trouve presque plus depuis des mois!, dit le bonhomme.
-Mais, c'est plutôt courant comme pistolet..., dit Richard, surpris.
-Vous, vous faites partie des Répurgateurs alors?, poursuivit le vieillard.
-Qui? Je n'comprends pas vous savez..., cracha le pauvre homme.

...

- Les Répurgateurs voyons! Ce sont les seuls qui aient encore des armes ici!
Richard ne comprenait rien à rien. Tout ce mélangeait dans sa tête. Où était-il donc arrivé?
Soudainement, une voix grave fit taire toute les autres. Richard tourna la tête et vit un vieillard qui avait l'air encore plus vieux et rabougri que l'autre.
- C'est peut-être un nouvel arrivant, dit-il.

Un murmure parcourut le groupe de personne. Un nouvel arrivant? Mais une voix s'éleva plus haute que les autres.
- Cette personne ne sait donc rien de la situation actuelle?
- Non, répondit le plus vieux vieillard. Il va falloir lui expliquer.
A ces mots, les autres personnes commencèrent à s'agiter. En quelques instants, ils avaient tous quitté la pièce. Richard se retrouva donc seul avec le vieillard. Celui-ci s'assit avec précautions sur une vieille chaise.

-Ne t'avise jamais à sortir sans grandes précautions, explica-t-il tout d'abord avec calme. Si ils te voient... Si ils te trouvent... Tu n'existeras plus.

- Mais pour quelle raison ?? demanda Richard.
- A présent, rien n'est plus comme avant...commença le vieil homme.
Je me nomme Barrington, Oswald Barrington, reprit-il, et cette cette organisation s'appelle la KERPS. Nous sommes les ultimes forces de défense du pays, ou du monde....je ne sais pas quel a été l'ampleur de la catastrophe.
- La catastrophe ??? répéta Richard.

- Calme-toi, Richard, me fit Barrington. Je vais te dire toute les informations que nous avons. Commençons depuis le début. Il faut que tu saches, Richard, que depuis longtemps, il y avait de nombreuses personnes qui travaillaient sur un projet secret. C'était une espèce de bactérie inconnue. Elle avait soi-disant des effets... étranges...

Richard se calma et l'écouta attentivement.
-Cette bactérie était une nouvelle forme d'arme... Mais malheureusement, un jour ils perdirent le contrôle de leur propre arme... Et...

La voix de Barrington s'etrangla.
- Et ? demandai-je, avide d'en savoir plus.
- Et la bactérie, nommée H4, se propagea dans le monde. On n'en entendit plus parler durant une année, puis elle revint, en pire : la bactérie H4 avait muté en H4.318.
- Que cela change-t-il ? dis-je.
- Cela change que cette bactérie H4.318 n'était plus une simple arme, mais un fléau. On put jadis constater l'étendue de ses capacités lorsqu'elle arriva dans une petite ville nommée Llednar City : une semaine après, tous les habitants s'étaient entretués !! Cette bactérie rend les gens fous et insensibles à la douleur ! De véritables cadavres ambulants !!
- Mais quel rapport avec nous ? m'enquis-je précipitamment.
- Il semble que le H4.318 soit arrivé ici...murmura Barrington.

[...]

Richard ne pouvait croire cela. Il s'était juste évanouit de sa voiture. Il n'avais jamais entendu parler de cette bactérie... Que lui était-il arrivé?
-Et ces gens, repris Barrigton, ces gens contaminés... Nous les avons nommés les Répurgateurs.

- Mais...dit Richard, paniqué, Mais quel est votre but, à vous ??
Le vieillard parut jauger l'homme du regard.
- Nous sommes la survie du monde, répliqua-t-il simplement, et vous en faites intégrante partie.
- Quoi ?! s'exclama Richard, agité de spasmes nerveux.

[ ]

- Allons, calmez-vous, monsieur! Venez, suivez moi, je vais vous montrer les lieux! Il se leva promptement et sortit de la pièce. Richard le suivis à toute jambe. Sortant de la pièce donc, ils arrivèrent devant un grand escalier en colimaçon. Sa barrière était rouillée et ses marches déteintes. Du plafond, qui semblait fort lointain, des gouttes d'eau tombaient jusqu'à leurs pieds en raisonnant.

-On va où là ? demanda Richard paniqué.
-Mon ami, nous allons dans le seul endroit vivable désormais. Nous allons à l'endroit que nous appelons à présent New Heaven.

[Arf, bien jouer de relancer ce truc Glutz... c'est dommage, ce genre de machin, faut surtout les faire quand on est beaucoup..... enfin...]