Encyclopeadia Universalis pour les nuls!

L'image parle d'elle même, quelques petites précisions tout de même:

- Tout le monde est autorisé à poster ici, à condition de respecter le style de "Encyclopeadia Universalis pour les Nuls" et de ne pas trop contredire les messages portés auparavant.

- Si vous pouviez faire corriger vos messages par Word ou autre au cas où votre orthographe serait quelque peu hésitante, merci de le faire au nom de lisibilité du texte!

- Ce projet, fruit d'une collaboration poussée entre camarades, a pour but de cultiver quelque peu les quelques autistes que vous êtes. Tout ce que vous lirez ici est correct au point de vue syntaxique et grammatical de la chose (du moins le plus possible, on est tous humain (sauf toi Henry...)), quant au contenu, nous ne sommes pas en mesure de vous rpouver sa véracité, bien que nous en soyons fermement convaicus.

- Ne pleurez pas SVP...[/img]

tient, ma souris à une tendance à se rapprocher du bouton "close this topic"... pourquoi donc Ana'?

XD

J'ai rien compris à l'intérêt de la chose, à part qu'il fallait écrire juste.

Karl Uns Tedder

https://2img.net/r/ihimizer/img393/5549/monocle2hc.jpg

L'imminent physicien et astrologue Karl Uns Tedder vint au monde un doux matin de décembre 1826 par -24 °C. Aussi célèbre que grand (il mesurait près de 1,34m.), il sut s'imposer dans les autocraties européennes du 19ème siècle. Il posa les premières pierres du dernier pont au dessus de la Prout, ainsi que les fondements de la philosophie moldave du 20ème siècle.

En effet, il remit en question les principes même de la philosophie de l'époque, se décrivant lui même comme très éclairé, non qu'il fut vraiment brillant, mais qu'il fut placé près de la fenêtre. Cette affirmation provoqua un élan de panique en Europe de l'Est, élan qui conduisit inévitablement à la chute du maréchal roumain Van Jerker en bas du pic de l'Affolement, en Bulgarie lors du printemps 1894.

Karl Uns Tekker se maria le 13 juin 1854 à Roseline Gareg, polonaise d'origine, naturalisée moldave dès 1852. Ils eurent neuf enfants, dont le dernier naquit alors que Karl était âgé de 84 ans.

Karl Uns Tekker participa à la 1ère guerre mondiale dans les rangs de la glorieuse armée austro-hongroise, à l'âge extraordinaire de 88 ans! Il fut le plus vieux soldat de son régiment, et fut également le plus vieux soldat de son régiment à être tué par le recul d'une batterie d'artillerie alliée (le seul en vérité...). Sa mort n'ayant été apprise par l'opinion populaire qu'après la guerre, sa disparition n'entraîna aucun changement fondamental pour la Moldavie qui conserve aujourd'hui encore le souvenir de l'illustre Karl Uns Tekker près de son cœur, son tombeau se trouvant dans le capitale.

mdrrr, trop lol.


Henri Kraftunstein à l'age de 8 ans.

Henri Kraftunstein est né le 25 mai 1936, en Yougoslavie-orientale, qui, rappellons-le, était dirigée à l'époque par Untenberg.
Henri eût une enfance heureuse dans sa famille, jusqu'à l'éclat de la guerre, qui le poussa à s'enfuir de Strunkriftsch, son village natal, pour se réfugié à Singapur, ville occupée principalement par des tenanciers de magasin de tabac.
C'est là-bas qu'en 1944, il écrivit son premier livre "Comment j'ai arrêté de fumer", racontant l'histoire palpitante d'un homme qui essaie d'arrêter de se droguer. Son livre remporte plusieur prix, tel que le "Prix international des jeunes auteurs de Strunkriftsch qui ont déménagé à Singapur", qui lui vaut une bonne renommée.
Suite à cette lancée dans la carrière d'écrivain, il écrit en 1945 "La lutte contre les vilbrequin endiablé" (titre original "Ftyontsk"), titre qui penche plus vers la science-fiction. Il écrit également un recueil de nouvelles, étrangement intitulé "Recueil de nouvelles". Ces deux livres ont également eu un beau succès de par le monde.
Son dernier livre, écrit en 1950, fut un succès mondial. De son titre "L'astronef désemparé", il fut traduit en plus de 48 langues, tel qu'en Arménien (Lé Asthreunof Dzumpfum"), ou en Irlandais (Lak Yeztronievk Tzampfourpf). Ce succès fut pour lui de courte durée, car il périt en 1950, dans un accident d'aéroglisseur, lorsqu'il comptait aller rendre visite à un philosophe (voir pages suivante pour en savoir plus sur ce personnage). Il périt donc à l'âge de 14 ans.

excellent!

Le nombre magique de Krlönig

C'est en l'année 1924 que naquit dans le nord de la Suède le célèbre mathématicien suédois Andelbertz Krlönig. Né d'un père arménien et d'une mère amnésique, il s'intéresse très tôt aux mathématiques. Ayant suivi des études de mathématiques avancées, il découvre en 1949 un phénomène mathématique qui agita les mathématiciens de Suède.
Le nombre magique de Krlönig ( thèse publiée dans le journal Zeur Migza Dvzörj ( la résignation mathématique ) le 8 novembre 1949 ): "Je, sous-signé Andelbertz Krlönig, ai constaté une chose dans le domaine dont s'occupe essentiellement ce journal, qui n'est pas une fraction*, bien que mathématique. Il existe des nombres qui, multiplié ou divisé par eux même, donnent eux-même -Je pourrai résumer ceci par (n:n=n; nxn=n). Je donne comme unique exemple 0, mais je promet dans les mois suivant d'autres essais sur ce sujet."
(* il s'agit ici d'un jeu de mot, fraction se disant en suédois "Durkmöns", mot ressemblant beaucoup au mot "Durkmönns" signifiant le mauvais journal, le canard. Un ami de Krlönig, Pieter Brüschtz, annonça dans une autre revue que la puissance des rires des suédois qui lurent ce jeu de mot égalaient la puissance de onze bombes atomiques éteintes, et étaient capable de déplacer une péniche de quatorze mètres dans un bac à sable. )
Les mois suivants, Andelbertz travailla jour et nuit pour de nouveaux résultats. Il put, au bout de sept mois, publier dans le même journal qui entre temps, avait changé de nom, et s'appelait maintenant Zeur Hüstrz Krönzt ( la numération inégalée ), la suite de cette thèse.
Le nombre magique de Krlönig ( suite ): "Je, sous-signé Andelbertz Krlönig, ai poursuivi la thèse que j'avais commencé dans le numéro de novembre de ce journal, qui n'est certes pas une centaine*. Je peux aujourd'hui avancer un autre nombre "magique", il s'agit du nombre 1. En effet, une fois un font un, et un divisé par un fait un. Je continue mes recherches et n'hésiterait pas à faire des sacrifices pour cela." ( 11 juin 1450 )
(* il s'agit là aussi d'un jeu de mot, centaine se disant "Nelkmeün", mot très proche, en suédois, du mot "Nellkmeün" signifiant littéralement papier W.C, torchecul. Son très cher ami, Pieter Brüschtz, annonça dans un journal concurrent que l'énergie générée par les rires de tout ceux qui lirent cette plaisanterie était capable d'alimenter trois centrales nucléaires pendant une semaine et de tuer huit pères Noël d'un seul coup. )
Les sacrifices que Andelbertz avait promis dans la thèse ne tardèrent pas. En effet, le soir même de la parution de sa thèse, Andelbertz Krlönig abattit sa soeur d'un coup de porte de garage parce qu'elle refusa de lui faire du café.
Dans les mois qui suivirent, Andelbertz chercha un autre nombre magique, que la presse et les mathématiciens avaient déjà baptisé "nombre magique de Krlönig". A la fin de l'année 1950, il avait analyser méthodiquement tout les nombres entiers jusqu'à dix-huit. Il publia une dernière thèse en décembre 1950, dans le même journal ayant entre temps été rebaptisé Zeur Hïuztt Jlöpr ( les équations indistinctes ), expliquant qu'il n'avait trouvé aucun autre nombre magique. Il annonça également qu'après cet échec, il préférait se retirer définitivement du monde des mathématiques.
Un an après, un biographiste véreux lui proposa d'écrire le premier tome d'une biographie sur lui. Il accepta, et en 1954, on vit paraître le livre intitulé "Zeur Gjötzr" ( ma vie ). Mais il suffit d'une lacune de l'imprimante, qui inscrivit "jzü Andelbertz Krönig" ( par Andelbertz Krönig ) à la place de "jzü Andelbertz Krlönig" ( par Andelbertz Krlönig ), pour que tout les droits d'auteurs reviennent à un allemand nommé Andelbertz Krönig. Quant à Andelbertz Krlönig, il mourut le 23 octobre 1984, attaqué par un sanglier lépreux.
Quant aux nombres magiques de Krlönig, on en parla plus trop, et on les oublia peu à peu. Un écossais nommé Andrew Folstroop déclara un jour avoir trouvé un autre nombre magique de Krlönig, le 244. L'affaire n'eut pas de suite.

Absolument magnifique!

Johannes Derker

https://2img.net/r/ihimizer/img78/2166/lerougeherwig7gb.jpg

Johannes Derker naquit dans une riche famille aristocratique du Berlin-Est de 1953, le 05 mars de cette même année. Sa date de naissance créa bien entendu la polémique, car Staline, maître de l'Union Soviétique, mourut le même jour. Le petit Johannes fut dès sa plus tendre enfance considéré par sa famille et ses proches voisins comme un véritable prophète, étant né lorsque l'oppresseur mourut. Johannes véhicula donc une image de libérateur et de messie dans le Berlin-Est des années 70, image dont il sut se servir pour devenir le chef présumé du mouvement libéral DFD (en allemand: Deutschland für Deutsch; traduisible en français par: l'Allemagne aux Allemands). Ce mouvement politique, modéré à ses débuts, se démarqua vite par son extrémisme. En effet, Derker sut trouver les mots (et les rots diront certains témoins) pour motiver les hommes de son quartier (certains auraient été du quartier voisin, les sources sont plutôt floues sur le sujet) qui désiraient la réunification de l'Allemagne par la force.

Le gouvernement n'eu connaissance du mouvement qu'en 1978, et c'est à l'occasion d'un meeting du parti qu'il décida de réagir. La police politique tenta d'interrompre la réunion qui se tenait dans la cave d'un immeuble, mais fut repoussée par des coups de feus. La police donna l'assaut au bâtiment, mais devant un échec (en effet, un immense plateau d'échecs se trouvait sur la place à l'intérieur de la cour), elle dut se résoudre à monter le siège devant la cave. Des hommes (des femmes, on n'en est pas encore sûr à l'heure actuelle) ont gardé la sortie de la cave durant près de 354 heures, bloquant la porte avec des dalles scotchées les unes aux autres. Lorsque, 355 heures après le début du siège, la police donna l'assaut, elle trouva non moins de 19 cadavres. On pensa d'abord à un suicide collectif, mais une enquêt6e plus poussée établit que le groupe de protestataires était mort de faim et de soif. Une histoire terrible circule à ce sujet: la cave ne contenait, selon la rumeur, que des grains de riz. Les gens, résolus à mourir, se seraient alors forcé à manger ces grains de riz, mais seraient morts à cause de la quantité de cyanure contenue dans ces grains de riz qui auraient en fait été utilisés par la Résistance lors de la Seconde Guerre Mondiale. C'est pourquoi l'hypothèse du suicide collectif est toujours acceptable.

On ne retrouva pas le cadavre de Derker, car il aurait compris à temps que la porte de sortie étant bloquée, il fallait employer la porte d'entrée. On sait toutefois que sa femme, Dinka Gorjek, n'a jamais signalé sa disparition, bien que l'alliance de son mari ait été retouvée dans la carcasse d'un avion écrasé en mer dans le Golfe du Mexique en 1984.

Monstrueux Anarksya. ça fait pas mal vrai tout de même...

Parcontre, "catelles", oublie, c'est un mot suisse... je t'édit ça en... heu... aerf... choisis.

voila j'ai modifié l'affaire, "merci de me l'avoir fait remarquer, je ne l'avais pas vu" (à dire sur le ton de "l'heure du thé")

Voili voilou, c'est à moi maintenant !!

Igor Karbulachev



Dans cette partie, nous allons abondemment et exclusivement parler du plus ou moins célèbre philosophe Austro-Hongrois, Igor Karbulachev.
Ce brave et honnête homme naquit un 3 octobre 1854 en Papousie Nouvelle-Guinée, à Port Moresby, pour être un brin plus concis.
Son père, maçon de profession, était Turc et sa mère Irlandaise. C'est par un complexe concours de circonstances qu'il aquit la nationalité Austro-Hongroise, concours que nous ne conterons pas.
Il fit ses études universitaires à Korklük, grande ville de Suède mondialement connue.
C'est à peine sortit de celles-ci (des études) qu'il écrivit son premier livre de philosophie moderne, intitulé : "Les Canards Tchékoslovaques dans leur Habitat naturel", livre dans lequel il expose une philosophie très profonde, puisqu'elle traite de spéléologie, et ou l'on découvre l'enjeu politique de l'attentat à la bombe....à eau contre le vice-président du comité de scrabble national, par le terroriste belge Henri Dufour, à Reykdjavik, Islande, caché au public afin d'eviter un crash bou(r)sier effroyable.
Cinq ans plus tard il dit, lors d'éléctions communales à Niklarson, toujours en Suède : "Je remercie ma mère, sans qui je ne serais jamais arrivé jusque là".
Cette phrase provoqua un intense émoi dans toute l'Europe, car elle remettait en question le régime totalitaire Arménien. Phrase qui, de par son impact, provoqua également, plus tard, la crise économique de 1929 au Etats-Unis.
Quelques année plus tard, il créa avec le scientifique Harvey Dwingtwald un journal stirique intitulé "Le pigeon ligoté".
La parution du journal était, à ses débuts, clandestine, car la liberté d'expression n'existait pas encore.
Ce fut justement Harvey Dwingtwald qui l'inventa 2 ans plus tard. Il mourut un mois après dans d'étranges circonsrances.
Le siège du journal, tout d'abord basé à Nükrødin, en Suède bien sûr, dû déménager en Hollande en raison d'un coup d'etat dans la petite bourgade suèdoise qui vit des fascistes arriver au pouvoir et qui n'appréciaient que très moyennement la critique.
C'est dans les pages de ce journal qu'Igor écrivit la quasi-totalité de son oeuvre générale qui, à ce jour, est parue sous forme de collection littéraire de 23 volumes.
Par la suite, il opta pour la religion musulmane et devint une figure de proue de l'anarchisme moderne.
Il tenta ensuit un coup d'état au Chili qui faillit réussir mais qui, trahit par l'un de ses hommes, échoua lamentablement. Il passa ensuite 12 ans en prison pour coup d'état manqué, durant lesquels il rédigea son ouvrage le plus connu : "Séance de trampoline avec un unijambiste", parlant de sa vie, de sa constante lutte pour changer la société et des croissants au jambon de la boulangerie de Irskrvk, en Croatie Méridionale.
Le livre fut interdit par le Ku Kux Klan, car sa philosophie révélait des relations cachées entre le Duc d'Espagne et l'Imperatrice de l'Azerbaidjan, révélations marquantes et provocantes pour l'époque. Puis, la Pologne fut le premier pays à le publier, et les autres suivirent. Tous, à l'exeption de la Corée du Sud, qui décida de le bannir de la littérature en raison de propos diffamatoires et insultants à leurs yeux, traitants de la grève des pompistes au Bengladesh.
A la fin de sa vie, il écrivit plusieurs oeuvres plus ou moins profondes comme : "Fenêtre sur la pisciculture", "l'anarchisme à l'usage des sourds-muets" ou encore "Les Brouettes, ces Etres si sensibles", qui remporta le prix Victor Hugo à Pris le 29 février 1932.
Il mourut le 1er avril 1939, alors qu'il séjournait à Athène afin de rencontrer Henri Kraftunstein, une colonne antique s'étant abattue sur son gracieux crâne alors qu'il avait malencontreusement omis de mettre son haut-de-forme, qui aurait tout de même pu éviter de salir une si belle colonne, classée "monument historique"...(soyons cyniques, poil à la trique...).

Je voudrait remercier Ana qui m'a gracieusement scanné la magnifique frimousse de Mr. Igor Karbulachev...

Magnifique! Magnifique! Vive la culture!

Superbe superbe!

Mais quelque erreurs tout de même tel que:

Kazuki, appelé communément "le misericordieux" a écrit:

, d'eviter un crash bousier effroyable.

bousier = fait exprès?

Paske j'ai ris très bruyamment. XD

C'est quant même magnifique ce qu'on fait non? (Henry: NON! --- Henry est renvoyé)

Mais oui, c'est magnifique !!! Je me suis bien pissé dessus en lisant les vôtres, soyez-en convaincu !!
Sinon, Exa, j'ai corrigé les fautes d'ortho (c'était de l'inattention, car j'ai écrit le texte à 10h00 du soir et à toute vitesse, qui plus est...).

...

Autrement, le "bousier" n'était pas intentionnel !! Mmmmmh...J'edit ou j'edit pas....Allez !! Je met le "r" entre parenthèse !!

Ana : Pourquoi tant de haine envers Henry Dufour ?? Sa vistime comptait parmis tes amis ??

Les Havuces

C'est au XVII (17)ème siècle que naquit et prit fin le groupe des Havuces. Mais avant de nous pencher sur leur histoire, parlons de celui qui les guida, le philosophe grec Calvite.
Calvite naquit vers 400 av. J.C. On ignore exactement en quelle année et à quelle date. Il y a cinq villes qui prétendent avoir vu naître Calvite en leur sein: Argos, Delphes, Ithaque, Cythère et Loutsk ( en Ukraine ). Selon les spécialistes, il est très improbable que Calvite soit né en Ukraine, mais, somme toute, les habitants de Loutsk disent ce qu'ils veulent. La vie de Calvite est très vague, on ignore tout jusqu'au nombre de bras qu'il avait. Il écrivit quelques ouvrages dans lesquels il expliquait sa manière de voir la vie. Selon lui, pour vivre sainement et librement, il fallait vivre sans cheveu. Les cheveux étaient selon lui une barrière pour la liberté ( n'oublions pas qu'à l'époque, de longs cheveux étaient un attrait pour une femme ) et étaient aussi inutiles que laid. Calvite avait lui-même un crâne parfaitement rasé. Il mourut en l'an 348 av. J.C, le 11 août à quatre heures du matin, dans son sommeil.
L'histoire de Calvite aurait pu s'arrêter là. Mais en l'an 1681, à Paris, un étudiant du nom de Archibald Nemluvim ( Tchèque d'origine ) découvrit par hasard dans une bibliothèque des textes de Calvite. Il crut aussitôt en ses propos, et se fit alors rasé le crâne. Il trouva, ensuite, des gens intéressé par cette doctrine. En 1682, Archibald Nemluvin est le chef d'une nouvelle manière de penser: le calvitisme. Au cours des¨trois ans qui suivent, il recrutent encore des fidèles, et en 1685, les calvitistes sont plus de quarante, hommes et femmes, sans cheveu les uns comme les autres. Mais en 1685, comme on le sait ou ne le sait pas, Louis XIV (14) décide d'interdire le protestantisme. C'est ainsi que, par erreur, huit calvitistes seront condamnés à mort, confondus avec les calvinistes. Par sécurité, Archibald Nemluvim décide de faire changer de nom à cette doctrine. Il s'appelleront, par la suite, les calves, les cauves, puis les chauves. Mais entre temps, Louis XIV (14) apprend l'affaire, et décide d'exterminer également tout les chauves. C'est ainsi que douze chauves vont être exécutés en 1686, dont trois qui n'étaient que d'innocents catholiques sans cheveux. Les chauves décident alors de partir, comme tant de protestants, en Allemagne et de se rebaptiser les Havuces, mot ingénieusement trouvé par un fidèle nommé Albert Broublon en mélangeant les lettres du mot chauve. Recueillis par une vieille allemande qui les avait pris, à tort, pour des criminels bulgares en cavale, les Havuces resteront donc en Allemagne, où ils étudieront la philosophie calvitienne. Mais à la mort de Archibald Nemluvim, en 1690, empoisonné alors qu'il testait un breuvage sensé rendre imberbe, le groupe se dispersa et la doctrine calvitienne sera également pratiquée en Autriche, en Suisse, en Belgique et même en Italie.
Aujourd'hui, on voit encore les traces que les Havuces nous ont laissé. Notamment dans notre dictionnaire, avec les mots "chauve" et "calvitie" qui ont perdu leurs sens premiers pour désigner seulement l'absence de cheveu. On dit parfois que le mot anglais "bald" ( chauve ) vient du prénom de Nemluvim, Archibald. Quand au havucisme, il a encore des fidèles. On en croise parfois dans la rue, qu'on prend à tort pour des malades du sida ou des moines tibétains. Mais non.

Monstrueux! Monstrueux!

Attention tout de même:

Glutz dit "Le fou" a écrit:

C'est ainsi que, par erreur, huit calvitistes seront condamnés à mort, confondus avec les calvinistes.

yay.

Mais c'est juste, voyons!
Les calvitistes étaient les adeptes de la philosophie de Calvite ( dont je parle on ne peut plus abondamment dans l'exposé ci-dessus ) alors que les calvinistes étaient ceux qui croyaient en les propos de Calvin ( ils étaient donc protestants )
Je te pardonne donc cette incompréhension ( ne te surnommait-on pas jadis "L'incompréhensif"? ) car Louis XIV (14) fut également victimes de cette paronomase et tua huit calvitistes par erreur.

excellent!

Je propose de rendre hommage à nos ailleuls jadis tué car ils osaient affirmer leur foi protestante. Une minute de silence...

(Non Henry, il faut vraiment attendre une minute en se taisant et en jouant la veuve épleurée)....

Une minute plus tard...

Merci...et au revoir

ana', ça n'a rien à voir, mais est-ce que ton avatar représente un homme voulant abattre une asperge géante?

( c'est pourtant si bon, les asperges géantes! )

Arf, excellent !! Je suis en train de concocter un un joli petit texte parlant du philosophe Sino-Croate Ralf Kräptüngberglüt...
A venir dans un avenir (très) proche !!


...

Et si l'on fondait le C.I.D.A ?? Le Comité International de Défense des Asperges....
A voir...

Plutôt la S.I.D.A. : Société Internationatinale de Défense des Asperges, mais laissons l'acronyme célèbre au fléau qui ravage toujours plus ce monde qui se perd...


Quant à l'asperge, il s'agit plutôt d'un arbre méditérranéen du nom de Cyprès, mais une asperge est plus attrayante c'est vrai.

Voyons donc, pourquoi mettre une majuscule au nom d'un arbre? En attendant, voici un exposé sur le khrinlousch:
Le khrinlousch

Le khrinlousch est un jeu de société moldave. ( khrinlousch en moldave signifie "Le jeu du petit caillou blanc" ) Voici les règles du jeu telles qu'elles sont aujourd'hui:
Règles du jeu du khrinlousch: Pour jouer au jeu de khrinlousch, il faut un paquet de cartes traditionnel ( 36 cartes ), deux pion ( ou deux objets pouvant servir de pion, comme des bagues, des crayons, des rats morts, etc. ) un camarade de jeu et un plateau de khrinlousch ( facultatif ). Ensuite, il faut enlever du paquet les trèfles et les carreaux, puis donner les cœurs ou les piques à votre camarade de jeu, et garder les cartes qui restent. Ensuite, étaler les cartes devant soi, à l'endroit ( ces cartes s'appellent "la ligne" ) puis placer le pion à droite de sa ligne, et demander à son camarade de jeu de faire de même. Si celui refuse ou en est incapable car il n'a pas de bras, tuez-le et prenez un autre camarade de jeu. Ensuite, chacun à son tour, prendre deux cartes sur n'importe quelle ligne et les intervertir ( les cartes, pas les lignes ). Ou, à la place d'intervertir deux cartes, on peut faire avancer son pion sur sa ligne selon la règle suivante:
Pour se déplacer d'une carte à une autre, il faut que la différence entre les deux cartes soit de 0, 1 ou 2 ( exemple: si le pion est sur un dix, il peut aller sur un autre dix, un neuf, un huit, un valet ou une dame )
Le but du jeu, bien évidemment, est de faire traverser sa ligne par son pion en empêchant son camarade de jeu de faire de même.

Les traces les plus ancienne de ce jeu se trouvent en Moldavie donc. En effet, en 1983 l'archéologue Ulrich Frästrz trouva en Moldavie méridionale un magnifique plateau de khrinlousch: il consistait en une fine pièce de bois mesurant 10 cm sur 60 cm, et d'une épaisseur de 1 cm. Ulrich Frästrz évalua qu'elle datait du 3ème siècle après Jésus Christ. Durant le congrès d'archéologie de 1983, tout ces confrère ne purent qu'applaudir une telle trouvaille. Cependant, un archéologue viennois du nom de Sigmund Trünzter déclara que, selon lui, il s'agissait simplement d'une planche. Il mourut durant le congrès pour une cause encore inconnue aujourd'hui, alors que le président du congrès lui tirait dessus avec un fusil de chasse. Une image de Ulrich Frästrz avec sa découverte:
http://www.schat-producties.nl/prod/woelgeest/Galerielocatierepetitie/images/Rondald-plank.jpg

Jadis, en Moldavie, on jouait avec des feuilles sur lesquelles on peignait les nombres de 1 à 11. Cependant, les règles étaient les mêmes qu'aujourd'hui, à quelques détails près ( il semble en effet qu'à l'époque, on jouait à quatre avec des dès, et que le gagnant était celui qui avait le plus de points ).
C'est en 945 que le commerçant ukrainien Vltar Sprukza, ayant été vendre sa marchandise en Moldavie, vit dans une auberge des joueurs de khrinlousch. Il alla évidemment expliquer les règles à ses compatriotes, précisant que le jeu se jouait à genou. En vérité, les deux joueurs qu'il avait vu étaient des culs-de-jatte, mais il ne s'en était pas aperçu. C'est pourquoi en Ukraine on joua au khrinlousch à genou.
En 963, un commerçant moldave du nom de Krlza Zltusre, ayant été exporté sa marchandise en Ukraine, vit, dans une auberge, des joueurs de khrinlousch jouant à genou. Il alla vite, évidemment, répété ce qu'il avait vu en Moldavie, et en quelques semaines, l'Etat moldave sommait à l'Etat ukrainien de cesser de jouer au khrinlousch à genou ( c'était irrespectueux envers leurs traditions ). L'Etat ukrainien répondit à l'Etat moldave que c'était eux qui avaient commencé. L'Etat moldave répliqua que non, c'était l'Etat ukrainien qui avait commencé. C'est ainsi que, en 966, la guerre fut déclarée entre les deux pays. Entre temps, Vltar Sprukza s'était exilé en Macédoine. La guerre fut évitée de justesse grâce à l'enquête d'un moldave nommé Sprzt Krtuvszu, qui remonta jusqu'au deux culs-de-jatte, et évita un massacre. Cependant, il fut prouvé que, si la guerre avait eu lieu, cela aurait sans doute inspiré l'écrivain bulgare Vltur Spruzzt qui aurait sans doute écrit un roman sur le thème de la guerre. Ce roman aurait certainement été oublié, puis redécouvert par un moine bulgare au 17ème siècle. Il l'aurait sans doute fait édité et il aurait eu un tel succès qu'on l'aurait traduit en hongrois. Puis, au 18ème siècle, on l'aurait traduit en allemand, et ce livre aurait eu un succès gigantesque en Autriche. Puis, entre les deux guerres mondiales, il serait arrivé en Allemagne et, inévitablement, il serait tombé dans les mains d'Hitler qui aurait abandonné ses projets. La seconde guerre mondiale n'aurait donc pas eu lieu si Sprzt Krtuvszu n'avait pas fait d'enquête. Malgré tout, il en fit une, et l'Etat décida d'interdire à tout les culs-de-jatte et tout les unijambistes de jouer au khrinlousch. Par la suite, il fut également décidé d'interdire ce jeu aux manchots, un journaliste roumain ayant cru que ce jeu se jouait la main gauche dans la poche en voyant des manchots y jouer.
En 1345 fut organisé le premier tournoi de khrinlousch en Moldavie. Soixante-trois participants furent reçu, dont seize furent exclus pendant le tournoi. Douze parce qu'ils trichaient, trois parce qu'ils ne savaient pas jouer et deux parce qu'ils étaient des culs-de-jatte munis de fausses jambes pour tromper les arbitres. Le gagnant, Svaltek Vltzurs, gagna une bouteille de lait vide.
A partir de ce jour, des tournoi de khrinlousch furent organisés régulièrement, aujourd'hui encore. Si vous voulez jouer à ce jeu, vous pouvez vous adresser à un club de khrinlousch, ou à l'ambassade moldave. ( Si vous êtes cul-de-jatte, adressez vous à un club de khrinlousch pour cul-de-jatte! ).

OMGGG! XD

Je me suis pissé dessus (c'est une expression hein, soyons d'accord):

Citation :

Il mourut durant le congrès pour une cause encore inconnue aujourd'hui, alors que le président du congrès lui tirait dessus avec un fusil de chasse.

Énorme.

XD Trop bon^^

Trop drôle, mdr !!!

Bon, voici la vie du musicologue Sino-Croate Ralf Kräptüngberglüt (partie 1).



Ralf Kräptüngberglüt naquit en Chine le 7 Juillet 1977 à Shangai. Il ne resta que très peu de temps là-bas, car c'est à l'age canonique de 7 ans qu'il décida de quitter le domicile familial, depuis établi à Xiongeu-Leuongsei, bourgade mondialement connue pour ses multiples variétés de confitures aux raisins secs, afin de s'installer à Kvratsykülk, Croatie.
Il écrivit son premier concerto à 7 ans et demi, alors qu'il venait à peine d'arriver à sa nouvelle demeure. Le concerto, révolutionnaire et inouï pour l'époque (forcément, car il ne l'avait pas encore écrit...), bouleversa la culture Serbo-Croate, notemment celle des pois chiches à Grasdviknürg, superbe cité pittoresque à l'est du pays.
Il déffraya la chronique ensuite en déclarant, 4 ans plus tard, avoir découvert une nouvelle note révolutionnaire, en plus de la gamme de base : Il s'agissait en fait d'un accord quelque peu discordant de 7 notes que donnait sous la forme d'une seule son vieux piano à manivelle. L'histoire n'eut pas de suite. Pour Ralph, du moins, mais pour le piano, il fut vendu aux enchère au marché au puce de Jiksrakglurn pour la somme (modeste) de 3'000 Couronnes Danoises, à la suite d'une erreur d'impression de la machine à écrire du commisaire priseur.

...

Fin de la première partie.